Surpopulation forestière

Nous étions 15 (Roland, Patrice, Pascal, Loïc, Damien, Patrick, Benoit, Guillaume, Gilles S, Jean-Luc, Edern, Seb, Joann, Gilles L et Fred) ce matin, sous les fenêtres d’un Patrick fringant mais fort peu entrainé avec une seule sortie depuis la nouvelle année. Il nous a donc abandonné au bout de 10km. 10km, déjà! C’est infiniment plus que Damien, un nouveau pote de Benoit, qui a perdu une manivelle dès les premiers tour de roue dans la forêt…
Puisque j’en suis aux abandons et autres casses mécaniques, à noter le départ prématuré de Gille S, la crevaison de Loïc et la casse de chaîne de Patrice.

15 vététistes au départ un 2 février, ce n’est pas commun! Faut il préciser que le temps était clément ce matin après des mois de grisailles, de pluie et de neige. Nous n’étions d’ailleurs pas seul en foret d’Ermenonville, quantité de marcheurs, coureurs et cyclistes nous ont croisé comme le montre le cliché ci dessous avec la rencontre de 4 groupes de vététistes à un carrefour :


Beau temps et groupe fourni ne sont pas propice aux excès de vitesse et aux exploits en tout genre. En effet, inutile de forcer pour se réchauffer et vas y que ça papote dans les rangs indisciplinés d’un peloton où discussion de comptoirs et mondanités couvrent les gazouillis des oiseaux annonçant les prémices d’un printemps tant attendu.

Bref ça glandouille et en plus ça râle que l’itinéraire n’est pas assez ceci ou pas assez cela!

Heureusement que Roland, notre photographe de choc, a immortalisé sur pellicule de bien beaux moments de vélo, prouvant ainsi que la sortie somme toute tranquille n’en fut pas moins fort agréable :

Avec tout ça nous avons quand même pédalé 40km mais sommes rentrés à 13h!